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POUR (RE)DONNER CONFIANCE À SON ENFANT

Des astuces à appliquer dès maintenant

Des astuces en plus: FAQ

L’ENCOURAGER

Encourager, c’est nécessaire. Tous les enfants en ont besoin. C’est d’ailleurs ce que vous avez fait quand il a appris à marcher. Vous avez suivi ses progrès avec intérêt, encourageant chaque évolution, ne doutant pas un seul instant qu’il finirait par y arriver. Et c’est cette confiance absolue en ses capacités qui a permis à votre enfant de continuer à se relever, à tomber et à se relever encore, sans jamais se décourager. Quand l’enfant grandit, le doute s’installe : est-ce qu’il sera bon à l’école ? est-il intelligent? va-t-il s’en sortir ? Continuez à l’encourager, à croire en lui, à visualiser pour lui un avenir heureux, cela lui sera d’une grande aide. Plus tard, il va incorporer cette anticipation positive comme étant la sienne, comme étant naturelle et il pourra illustrer cette célèbre citation de Mark Twain : « Ils ne savaient que c’était impossible, alors ils l’ont fait. »

PROPOSER DES MISSIONS RÉALISABLES

« Un voyage de 1000 lieux commence toujours par un premier pas », disait Lao-Tseu et ce qui était vrai il y a plus de 2500 ans est toujours d’actualité aujourd’hui. Encouragez votre enfant gentiment et sans le forcer à accomplir ce premier petit pas. Acheter du pain à la boulangerie, rendre la monnaie à l’épicerie, demander du sel au voisin, à vous d’évaluer ce qu’il est capable de réaliser facilement. Entraînez-le en restant à côté de lui et en lui demandant de faire « comme si vous n’étiez pas là » de façon qu’il puisse prendre conscience (et vous aussi) qu’il y arrive très bien sans votre intervention. Une fois cette première étape répétée et réussie, le fameux premier petit pas tout seul lui semblera être un simple jeu d’enfant.

RACONTER UNE HISTOIRE À TABLE

Vous pouvez instaurer ce rituel le week-end à midi ou tous les soirs de la semaine à votre guise : chacun raconte aux autres son meilleur moment de la journée. C’est une occasion d’apprendre à s’exprimer en public en toute sécurité et aussi de se remémorer tout le positif de la journée. C’est un exercice bénéfique pour les petits comme pour les grands ! Dans le même genre d’idée, vous pouvez mettre en place le jeu « du compliment à droite » qui consiste à faire un compliment à son voisin de droite et à donner un exemple l’illustrant.
Ce qui peut donner : « Maman, tu fais très bien la cuisine et ces lasagnes en sont un super exemple ! » En plus d’apprendre à s’exprimer, cet exercice met une très bonne ambiance dans la
maison ! Sourires et bonne humeur garantis !

(Extrait du livre: les histoires magiques du soir - Editions First)

ET SI L'ERREUR ÉTAIT UNE VERTU?

Le manque de confiance peut aussi venir d’une trop grande pression que met l’enfant sur ses (frêles) épaules. Il n’est pas courant de valoriser les erreurs, ce n’est pas en tout cas le message qu’envoie l’Éducation nationale avec ses copies corrigées à l’encre rouge. Et pourtant, c’est seulement en se trompant que l’on peut apprendre. La perfection n’étant pas de ce monde, il peut être utile de changer de regard sur l’échec pour envoyer consciemment et inconsciemment à votre enfant un message de ce type : « il n’y a pas d’erreur, seulement de multiples occasions d’apprendre ». Et vous, quel genre d’erreur vous autorisez vous ?
Cherchez-vous à être un parent parfait à tout point de vue ?
À réussir toutes les tâches que vous vous imposez chaque jour sans jamais vous féliciter de les avoir accomplies? Et si vous en profitiez pour vous considérer avec plus de bienveillance en vous disant (car c’est vrai) que vous faites de votre mieux, est-ce que la vie ne serait pas plus agréable ?

Chez HAPPYKIDS, on apprend à s'autoriser, s'autoriser à se tromper, s'autoriser à recommencer, s'autoriser à changer de cap quand c'est nécessaire, s'autoriser à être, tout simplement.

LA COMPARAISON: L'ENNEMI N°1 DE LA CONFIANCE EN SOI

Il n’y a rien de pire que la comparaison pour détruire la confiance en soi. D’ailleurs, si l’on pense ne pas avoir assez confiance en soi, c’est toujours par rapport à quelqu’un d’autre, ou à ce que l’on se figure des autres en général. Il est impossible de se juger soi-même ou d’émettre un jugement quelconque sans point de référence. Donc, si on supprime la comparaison, on supprime aussi le jugement de valeur. Et tout le monde y gagne. La comparaison permet seulement de se sentir inférieur ou supérieur et aucune de ces deux positions n’est enviable. La plupart des êtres humains cherchent leur place, cette fameuse place qui ne se trouve pas par rapport à celle d’un autre, mais seulement par rapport à soi. Alors, chez HAPPYKIDS, on apprend à jeter une bonne fois pour toute la comparaison à la poubelle et à l'arracher d’une main ferme dès qu'on la voit repointer le bout de son nez, comme la mauvaise herbe qu’elle est, et la vie en général devient tout de suite beaucoup plus agréable.

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